Delphine Ernotte Cunci,lors du 77ᵉ Festival de Cannes,le 25 mai 2024. SCOTT A GARFITT/INVISION/AP Pour la troisième fois,mercredi 14 mai,le régulateur de l’audiovisuel a estimé que la personne la plus à même de diriger France Télévisions était Delphine Ernotte Cunci. La dirigeante,dont la première nomination,en 2015,avait fait l’objet de diverses contestations et même d’un dépôt de plainte (classée sans suite),peut savourer le moment : seule Marie-Christine Saragosse,à France Médias Monde,peut se targuer d’avoir été reconduite,comme elle,deux fois par l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom,ex-Conseil supérieur de l’audiovisuel).
Que l’Autorité ait préféré cette reconduction plutôt que de nommer l’un des trois autres candidats en lice – l’ancienne députée des Hauts-de-Seine et productrice,Frédérique Dumas,l’ex-directeur des antennes et des programmes de Public Sénat,Jean-Philippe Lefèvre,ou encore l’ancienne directrice générale adjointe de la régie publicitaire de France Télévisions,Irène Grenet – constitue toutefois une demi-surprise. Il était en effet peu probable que les sept membres de l’Arcom et son président,Martin Ajdari (Antoine Boilley,ancien salarié de France Télévisions depuis moins de trois ans,s’était déporté) décident de se déjuger en allant à l’encontre de l’avis,bienveillant,délivré par l’Autorité elle-même,à la fin de janvier.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.