Dans la salle des marchés de change du siège de la KEB Hana Bank,à Séoul,en Corée du Sud,le 9 avril 2025. AHN YOUNG-JOON / AP Les boursiers américains appellent cela le dead cat bounce,littéralement le « rebond du chat mort »,ce sursaut des cours après une forte chute,lorsque les investisseurs les plus téméraires repartent à l’achat pour tenter de profiter de valorisations redevenues attractives. Ce mouvement s’est amorcé mardi 8 avril à Wall Street,mais il n’a duré que quelques heures avant d’être brutalement interrompu par l’annonce de l’entrée en vigueur,dès mercredi,de droits de douane de 104 % sur les produits chinois importés aux Etats-Unis. La tendance s’est vite inversée et l’indice S&P 500,qui regagnait 4,1 % en début de séance,a fini en baisse de 1,6 %.
Il se rapproche désormais dangereusement du seuil très surveillé des 20 % de repli par rapport à son record de février. S’il cède encore un peu plus de 1 %,il affichera l’un des plongeons les plus rapides en zone de « marché baissier » de l’histoire des marchés américains. Le regain d’inquiétude suscité par le début des hostilités commerciales s’est logiquement propagé aux marchés asiatiques : à Tokyo,l’indice Nikkei a fini en repli de 3,9 %,tandis que les Bourses de Séoul et Hong Kong abandonnaient respectivement 1,7 % et 0,6 %.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Des associations ont agrégé les listes noires des gérants d’actifs et fonds de pension mondiaux. Y figurent près de 5 500 entreprises, dont 73 françaises, dans lesquelles ces sociétés financières refusent d’investir, les jugeant nuisibles à la planète ou à la société.