TWINKEL ACHTERBERG Du premier EVJF – pour « enterrement de vie de jeune fille » – auquel elle a participé,Louise (les personnes citées par leur seul prénom ont souhaité l’anonymat),26 ans,chargée de production dans une radio publique,garde le souvenir d’un « événement bourré de clichés » : « On devait porter des masques et du rose,cocher les cases de ce qui est attendu d’une femme. » Parmi les moments les plus lunaires,l’envoi d’un strip-teaseur par le beau-frère de la future mariée,malgré les réticences exprimées par cette dernière.
« Avec le recul,ça a été assez violent ! Le mec est arrivé à moitié à poil sans prévenir,sous couvert qu’on est des filles qui vont renverser les normes le temps d’un week-end. Ça ressemblait à quelque chose entre le comique et l’horreur »,raconte la vingtenaire.
Combien de jeunes femmes,comme elle,participent à ce protocole devenu incontournable,tout en questionnant les valeurs qu’il véhicule ?
Rituel d’origine anglo-saxonne importé en France au tournant des années 2000,l’EVJF n’a jamais été autant célébré. Seulement 12 % des femmes françaises organisaient un tel rite il y a vingt-cinq ans,elles sont aujourd’hui 72 % des moins de 30 ans,selon une publication de l’Institut national d’études démographiques (INED) publiée en 2019.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.