Le directeur général de BP,Murray Auchincloss,à Houston (Texas),le 11 mars 2025. KAYLEE GREENLEE/REUTERS Le ton était enjoué,le propos optimiste,mardi 29 avril,lors de la présentation des derniers résultats du géant pétrolier BP. « Nous avons réalisé un excellent trimestre,a déclaré le directeur général Murray Auchincloss. Nos raffineries ont enregistré leur meilleur rendement en vingt-quatre ans,nous avons réalisé six découvertes d’exploration,ce qui est vraiment inhabituel,et nous avons lancé trois projets majeurs. »
Les chiffres racontent une autre histoire. Lors des trois premiers mois de 2025,la société britannique a vu ses profits chuter de 49 % par rapport à l’année précédente,à 1,38 milliard de dollars (1,21 milliard d’euros). Elle avait déjà publié des résultats décevants pour 2024,avec un bénéfice en baisse de 35 %,incitant sa direction redéfinir ses objectifs stratégiques.
En février,elle a annoncé qu’elle renonçait à la quasi-totalité de ses engagements climatiques,afin de privilégier les hydrocarbures. Cela passe par sur une réduction de ses investissements dans les énergies vertes,qui n’atteindront plus que de 1,5 milliard à 2 milliards de dollars par an,soit 5 milliards de dollars de moins que prévu,a indiqué M. Auchincloss.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.