De gauche à droite,Jean XXIII,Jean Paul II et Benoît XVI. BERNAT ARMANGUE / AP Des papes despotes,des monarques absolus,des autocrates,mais aussi des saints,des humbles,des réformateurs… ou des scandaleux. L’histoire des souverains pontifes est riche de tous ces contrastes. Certains,plus que d’autres,ont dominé leur temps.
Commençons par Grégoire Ier,dit Grégoire le Grand (590-604),qui incarne la charnière entre une Antiquité romaine expirant sous les coups des barbares et un Moyen Age théocratique.
Fils d’une brillante famille patricienne,il renonce,à 35 ans,à sa charge de préfet de Rome et à sa fortune,et se fait moine bénédictin. Le pape le sort de sa retraite et l’envoie comme ambassadeur à Constantinople,siège de l’Empire romain d’Orient.
Il va au secours des populations,construit des hôpitaux,trouve des vivres. Il réforme les structures ecclésiales,redresse la discipline du clergé,marque son autorité sur les souverains voisins,impose son rang aux patriarches d’Orient (Constantinople,Antioche,Alexandrie). Il fonde l’idée que l’évêque de Rome est le successeur de saint Pierre et la « tête » de l’Eglise.
Il vous reste 90.18% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.