Lors du rassemblement de protestation du 22 avril,à Budapest. « Ça suffit ! » est-il inscrit sur la pancarte,qui s’inspire d’une célèbre affiche révolutionnaire de 1919,par Róbert Berény. ANNA KERESZTY POUR M LE MAGAZINE DU MONDE Akos Modolo,30 ans,a longtemps pensé que,en Hongrie,manifester ne servait à rien. Pourtant,le 18 mars,au lendemain du vote de la loi interdisant la Marche des fiertés dans le pays,ce militant des droits LGBTQ + s’est rendu au premier rassemblement organisé sur le pont Élisabeth,dans la capitale. Il l’a fait avec « un peu de scepticisme »,explique-t-il le 25 avril,à l’étage d’un café du centre-ville,chemise bleue et cheveux coiffés au gel. « J’avais le sentiment que le gouvernement nous volait notre cœur,notre événement le plus précieux,détaille cet ancien responsable des ressources humaines,salarié dans plusieurs multinationales basées en Hongrie. Je suis allé marcher pour le symbole,sans imaginer que ça pourrait changer quoi que ce soit à la législation imposée par le pouvoir. »
Mais ce jour-là,la manifestation,devenue par la suite un rendez-vous hebdomadaire,impressionne le jeune homme par son énergie. Des dizaines de milliers de personnes,toutes générations confondues,adolescents comme retraités,scandent « Nous n’arrêterons pas ! »,pancartes antirégime à la main.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».