Fidji Simo,lors du Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle,au Grand Palais,à Paris,le 11 février 2025. JOEL SAGET/AFP Une Française de 39 ans dans la direction d’OpenAI,la start-up d’intelligence artificielle (IA) la plus en vue du monde. Le parcours de Fidji Simo a de quoi frapper les esprits. La Sétoise a été nommée,jeudi 8 mai,par le PDG,Sam Altman,« CEO of applications » – soit « directrice générale des applications » – de l’entreprise créatrice du célèbre assistant conversationnel ChatGPT. Elle prendra ses fonctions dans quelques semaines,le temps de lui trouver un remplaçant à son poste actuel de PDG de la start-up d’e-commerce Instacart.
Si elle n’a pas officiellement le poste de numéro deux,Fidji Simo épaulera Sam Altman,auquel « elle reportera directement ». Selon ce dernier,elle supervisera « les fonctions “traditionnelles” de l’entreprise »,c’est-à-dire « les équipes opérationnelles et commerciales responsables de rendre accessibles notre recherche en IA au monde entier,d’une façon bénéfique ». Elle s’occupera de l’assistant ChatGPT aux 500 millions d’utilisateurs hebdomadaires,de sa diffusion sur des plateformes tierces comme les iPhone,de la vente des modèles d’IA aux entreprises,en direct et par le biais des hébergeurs en ligne dans le cloud,etc. Elle dirigera le chef des opérations,Brad Lightcap,la directrice financière,Sarah Friar,et le responsable des produits,Kevin Weil,selon l’agence Bloomberg.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».