Un technicien installe des micros du diffuseur DAZN à l’occasion du match de Ligue 1 entre Brest et Strasbourg,le 23 février 2025,à Strasbourg. SEBASTIEN BOZON / AFP Lutte contre le piratage,rémunération de Vincent Labrune,conflits d’intérêts de Nasser Al-Khelaïfi… Cinq mois après l’adoption de leur rapport sur la « financiarisation du football »,les sénateurs de l’Isère Michel Savin (Les Républicains) et du Val-de-Marne Laurent Lafon (Union centriste),par ailleurs président de la commission de la culture,de l’éducation,de la communication et du sport du Sénat,ont présenté,mercredi 19 mars,leur proposition de loi relative à « l’organisation,à la gestion et au financement du sport professionnel »,lors d’une conférence de presse au Palais du Luxembourg. Ce texte,déposé le jour même à la Chambre haute du Parlement,reprend une partie des 35 préconisations de leur rapport,avec l’objectif qu’il soit débattu au Parlement avant l’été.
Si l’intitulé est global,cette proposition de loi vise avant tout à répondre à la crise du football professionnel en France,jugée « structurelle » par le président de la Fédération française de football (FFF),Philippe Diallo,qui a lui-même lancé en parallèle des Etats généraux,lundi 3 mars,afin de « réformer en profondeur » un sport notamment miné par de graves difficultés financières.
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.