Hommage au maire de Rezé,Hervé Neau,devant l’hôtel de ville,le 12 février 2022. LOIC VENANCE / AFP La fin d’un mystère et le choc pour les habitants de la commune de Rezé,en banlieue de Nantes : trois ans après le suicide d’Hervé Neau,maire de la ville,dans les locaux de l’hôtel de ville,un homme de 49 ans a été mis en examen mercredi 2 avril,à Nantes,des chefs de « violences sur personne dépositaire de l’autorité publique » et « harcèlement moral ». Le quadragénaire qui a été appréhendé,ancien compagnon d’une responsable de service travaillant à la ville à l’époque des faits,est soupçonné d’être à l’origine des courriers malveillants envoyés à Hervé Neau,retrouvé pendu par des agents,au petit matin du 11 février 2022.
Treize lettres dactylographiées avaient été adressées à l’édile,ancien directeur d’école et militant associatif,et à de proches collaborateurs. Dans ses missives,envoyées par la poste depuis le mois de janvier 2022,le corbeau assurait filer le maire. Il prétendait tracer ses SMS ou l’avoir photographié dans sa sphère intime,et menaçait de rendre publics certains éléments de sa vie privée. « La plupart des faits relatifs à la vie privée d’Hervé Neau,évoqués dans ces lettres anonymes,sont factuellement justes,ce qui atteste d’une très bonne connaissance de la vie du maire »,soulignait,en février 2023,le procureur de la République de Nantes de l’époque,Renaud Gaudeul.
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