Ce billet est extrait de la newsletter hebdomadaire « Darons Daronnes » sur la parentalité,qui est envoyée tous les mercredis à 18 heures. Vous pouvez vous inscrire gratuitement à cette newsletter en suivant ce lien.
Delphine Horvilleur,lors du lancement de « Strasbourg,capitale mondiale du livre Unesco »,à Strasbourg,le 24 avril 2024. NICOLAS ROSES/ABACAPRESS.COM Qui n’a jamais été démuni face à un enfant qui demande : « Maman,tu vas mourir toi aussi ? » ou bien : « Où est parti Papy ? » Alors,on bredouille,on tâtonne et l’on dit des bêtises. Parfois aussi,on se tait. Dans Euh… Comment parler de la mort aux enfants (Grasset-Bayard,108 pages,14,90 euros),la rabbine Delphine Horvilleur propose au contraire d’ouvrir la conversation. De saisir les deuils qui jalonnent nos vies pour penser à la mort en famille.
Je l’ai rencontrée dans un café parisien où,dans un savant et chaleureux mélange des genres,elle m’a parlé de la mort,mais aussi de l’anniversaire de son fils,elle m’a confié son amour pour la variété française et elle m’a chanté « N’attendons pas que la mort nous trouve du talent/Aimons-nous vivants ! » de François Valéry.
« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.