De gauche à droite : Hans Scholl,Sophie Scholl et Christoph Probst. DR Devant l’échafaud,en ce mois de février 1943,à 17 heures,Sophie Scholl,21 ans,lance à ses bourreaux : « Le soleil brille encore. » Elle est guillotinée dans la prison de Stadelheim,à Munich. Son frère,Hans,24 ans,a subi le même sort deux minutes auparavant. La Gestapo leur reproche leur participation active au mouvement de résistance baptisé « la Rose blanche ». Ils venaient alors de diffuser,dans leur réseau universitaire munichois,sept tracts appelant à un sursaut des consciences allemandes face à l’horreur nazie,qualifiant Adolf Hitler de « tueur de masse ».
L’essayiste Adrien Louandre,30 ans,a choisi le dernier cri de Sophie Sholl en guise de titre pour son bel essai consacré aux origines intellectuelles et chrétiennes de la Rose blanche (Le soleil brille encore. Sophie Scholl et la Rose blanche,une résistance spirituelle,1937-1943,Desclée de Brouwer,2024). « La vie et les choix de Sophie,explique-t-il,montre que des actes héroïques résident dans des gestes aussi simples que rédiger un graffiti sur un mur ou imprimer des tracts. »
Le fonds américain doit revoir drastiquement la rentabilité de son investissement dans FiberCop, société gestionnaire du réseau numérique italien, chargée de déployer la fibre dans la Péninsule.
Les investissements colossaux des monarchies pétrolières dans les activités culturelles, touristiques et sportives ne relèvent pas simplement d’une stratégie de diversification économique, décrypte le politiste Alexandre Kazerouni, dans un entretien au « Monde ».
La publication des résultats des épreuves de vérification des connaissances a ravivé la colère des syndicats et associations de praticiens diplômés hors de l’Union européenne, qui font tourner les hôpitaux français. Malgré des notes parfois bien au-dessus de la moyenne, certains des 4 000 postes ouverts n’ont pas été pourvus.
Les sociétés exploitant un parc de plus de 100 voitures sont en théorie soumises à des quotas croissants d’achat de voitures électriques (20 % en 2025). Mais les trois quarts ne respectent pas cette obligation, selon une étude de l’ONG Transport & Environnement.